On s'assurera au préalable lors de notre bilan ostéopathique d'exclure des pathologies organiques ou des lésions qui ne seraient pas de notre ressort, et dans ce cas, de réorienter notre patient vers son médecin généraliste (exemple : lombalgie aiguë chez une jeune femme causée par une maladie du rein).
Quand le corps n'est pas malade mais qu'il ne fonctionne pas de façon optimale.
L'ostéopathe, grâce à son bilan palpatoire et son écoute des tissus, va chercher à atténuer les conséquences des traumatismes subis par le squelette, et les organes qu'il protège. Les traumatismes peuvent être à l'origine de douleurs chroniques ou se réveillant des années après.
Là encore, nous pouvons réorienter le patient si nous jugeons qu'une prise en charge médicale est nécessaire.
L'ostéopathe effectue un bilan ostéopathique. Il fait le lien entre les renseignements donnés par le patient sur son passé traumatique, ses maladies, ses points de tension et son examen visuel et palpatoire. A l'issue de ce bilan, une stratégie de traitement peut être mise en place sur une ou plusieurs séances si nécessaire. Le suivi optimal préventif est de 1 ou 2 séances par an (cette fréquence peut varier parfois en fonction des cas).